Temps forts
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Promenade mythique du bord de mer à Deauville, les Planches ont été inaugurées en 1924. Elles permettaient alors aux femmes de la haute société de profiter sans se salir de la vue sur la vaste plage. Longues de 656 m, les Planches sont jalonnées de cabines portant les noms des célébrités venues fouler les lattes d’azobé, en particulier celles du cinéma américain auxquelles Deauville dédie un festival, tous les ans en septembre. Peut-être y croiserez-vous des stars?
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À Trouville, prenez un peu de hauteur, vos efforts seront largement récompensés par la vue! Empruntez l’escalier du Serpent, un passage discret dans le quartier résidentiel de Bonsecours. Au bout des 107 marches, un panorama digne d’une carte postale s’offre à vous, hautement instagrammable avec les maisons cossues, la vaste plage et la mer en toile de fond.
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Voisines, Deauville et Trouville sont séparées par la rivière la Touques. Une manière très agréable de passer d’une station à l’autre consiste à emprunter le bac. Trait d’union entre chacun des deux ports, il effectue la navette toutes les 5 minutes, à marée haute. Une micro-croisière à prix modique! À marée basse, le bateau reste à quai et une passerelle permet de traverser.
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Située à Deauville, à la limite de Trouville, la gare commune aux deux stations figure parmi les plus belles de France. Inscrite aux monuments historiques, elle se distingue par son style néo-normand avec une façade et une toiture dans l’esprit de la région, des quais dallés de grès jaune et rouge, des fresques de 1932 signées de Louis Houpin dans le hall des voyageurs. La gare apparaît au cinéma dans plusieurs films, notamment dans «Un homme et une femme» de Claude Lelouch en 1966.
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En séjour à Deauville ou Trouville, découvrez Honfleur, à environ 30 min en train ou en bus. Ce joyau de Normandie a vu son Vieux Bassin immortalisé par Eugène Boudin et Claude Monet, son église Sainte Catherine tout en bois est unique. À voir également, cette autre station célèbre de la côte normande, à 30 min en train: Cabourg a inspiré à Marcel Proust le Balbec de «la Recherche du temps perdu».